Piranhas mercurés en Guyane française : vérité et contre-vérité

3. A propos de l’exposition de la porte dorée et de l’article de Sylvie Briet récemment paru dans la presse nationale intitulé « Une espèce atypique présentée à l’aquarium de la Porte Dorée[1]. En Guyane, un piranha qui vit d’herbe et d’eau fraîche »[2], on peut lire « Mais l’un des plus gros avantages de ces poissons est qu’ils sont indemnes de mercure, fait particulièrement appréciable dans cette région polluée par l’industrie aurifère ». Ceci est une contre-vérité (« Assertion contraire à la vérité » selon le Petit Robert). Dans le même registre on peut lire qu’ « indemne » signifie « Qui n’a éprouvé aucun dommage. V. Sain (et sauf) ». Or, dans l’article de Charlet et Boudou dans la revue La Recherche [3], Continuer la lecture