Le 5 décembre 2001 vers 12h00, je me suis rendu avec un piroguier à la station de recherche de Saint-Eugène, site des travaux du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) en amont de la retenue du barrage EDF de Petit Saut[1]. Le MNHN y menait depuis 1993 des recherches sur l’écosystème forestier guyanais fragmenté. C’est une station internationale d’envergure qui n’a rien à envier à d’autres par sa richesse biologique et son intérêt scientifique. Continuer la lecture