« L’orpaillage et l’exploitation minière de l’or ont eu des conséquences néfastes sur la faune, la flore et les habitats dans de nombreuses forêts tropicales du monde entier ». Ainsi débute l’analyse socio-écologique menée par Sally Lahm au Nord-Est du Gabon (Lahm, 2002)[1].
Les décideurs politiques ne semblent pas prendre la mesure de la catastrophe écologique qui se dessine derrière une relance de l’activité aurifère en Guyane. En dépit des multiples rapports, thèses, articles et analyses scientifiques, sociologiques, épidémiologiques, etc…, parus dans de nombreux pays, et dans toutes les langues, on ne nous (les scientifiques) croit pas encore ; Continuer la lecture